ASSEMBLEE GENERALE DU 19 MARS 2016

 Ordre du jour : Présentation en image des projets réalisés à Passakongo

  Rapport moral

                          Rapport financier

                          Rapport d’activités présentation du blog

                          Élection Conseil d’administration

1 Présentation en image des projets réalisés à Passakongo

Photos du séjour de Marie Meley Présidente et Christine Romeyer Adhérente

Film sur la réalisation du forage de brousse de Mangana

2 Bilan moral présenté par Marie Meley Présidente

            En juillet prochain, nous entrerons dans notre 10^e année d’existence. En attendant de fêter cet anniversaire, nous continuons d’avancer dans nos soutiens au village de Passakongo.

            L’année 2015 a été une année toute en contraste entre satisfactions et inquiétudes :

            - inquiétude quant à un climat d’insécurité qui s’est amplifié dans la zone subsahélienne suite aux vagues d’attentats au Mali en 2015 (puis début 2016 au Burkina Faso avec l’attaque de l’hôtel splendid en plein cœur de la capitale et depuis le week-end dernier un attentat en Côte d’Ivoire toute proche + Niger avant hier).  Nous pouvons imaginer que dans ces conditions les séjours vont être un peu plus difficiles à décider. C’est déjà le cas pour plusieurs d’entre nous qui hésitent à partir en groupes trop visibles.

            Bien que tous ces événements dramatiques aient freiné nos envies de séjour et découragés plus d’un y compris nos amis burkinabè soucieux de notre sécurité, il nous faut retenir un élément positif qui est la capacité de la société civile burkinabè à avoir pu gérer différentes crises et ou défendre des principes démocratiques.

            Je rappelle un premier épisode par un extrait du journal Jeune Afrique en date du 30 octobre dernier :
" C'était il y a un an, le 31 octobre 2014, Blaise Compaoré fuyait Ouagadougou précipitamment à bord d'un imposant convoi de plusieurs véhicules, laissant derrière lui une Assemblée Nationale calcinée et une capitale chauffée à blanc, envahie par des milliers de manifestants réclamant son départ.
- Novembre 2014 installation d'un régime de transition avec un impact direct sur les villes et villages avec tous les maires démis de leurs fonctions ainsi que les conseillers municipaux (signature d'un décret portant dissolution des conseils de collectivités territoriales du Burkina Faso et installation de délégations spéciales).
- Et puis il y eu le putsch en septembre 2015 : "le coup d'Etat a désormais un visage : celui de Gilbert Diendéré. L'ex bras-droit de l'ancien président Blaise Compaoré a été nommé jeudi 17 septembre dans la matinée à la tête du Conseil national de la démocratie (CND). Ce dernier, composé d'hommes du Régiment de sécurité présidentiel (RSP), avait pris le pouvoir la veille, en prenant en otage une partie du gouvernement, dont le président de la transition, Michel Kafando, et son Premier ministre, Isaac Zida, déclarés démissionnaires" Coup d'état manqué puisque quelques jours plus tard rétablissement du régime de transition mais report des élections prévues en octobre.

Malgré tout, un séjour maintenu en novembre 2015 avec rétablissement du régime provisoire mais retour avant les élections présidentielles par précaution. On s'est trouvé Christine et moi en pleine campagne présidentielle mais sans véritable sentiment d'insécurité

Fin de l'année 2015 Roch Marc Christian Kaboré, le nouveau président élu du Burkina Faso à 58 ans, ancien bras droit de Blaise Compaoré avant de passer dans l'opposition, il prend la tête de ce pays, ce 29 décembre 2015, pour un mandat de cinq ans renouvelable une fois. "C'est le triomphe de l'alternance, de la démocratie et de la liberté" a salué Michek Kafando, le président de la transition. Son élection, le 29 novembre au premier tour avec 53,46 % des voix, avait été saluée par la communauté internationale. Roch Marc Christian Kaboré devient ainsi le troisième chef d’État civil sur les neuf qu'a connus ce pays d'Afrique de l'Ouest depuis son indépendance en 1960. 

       
            Donc une période mouvementée mais avec des signes positifs.

            Je parlais d’inquiétudes mais il y aussi des satisfactions: satisfaction pour l’association d’être témoin de la poursuite de l’engagement des femmes de Misola  dans le domaine de la lutte contre la malnutrition en milieu rural touché par la pauvreté, et de leur réussite puisque leur production annuelle a été de 10 tonnes de farine. Satisfaction aussi d’avoir pu accompagner des réalisations nouvelles et d’importance telle l’opération «forage de Mangana». Nous avons du être particulièrement réactifs pour décider du chantier dont nous n’avions pas prévu le démarrage aussi tôt. Les membres du CA ont accepté d’engager l’association dans la mise en œuvre du projet alors que nous n’avions pas pu caler toute sa programmation lors du séjour de février 2015. Nous n’avions pas non plus pu épargner pour l’ensemble de la réalisation. Nous ne disposions de fond que pour le forage. Fallait-il commencer puis stopper? Différer l’ensemble l’année suivante ? Les échanges avec le village ne pouvaient se faire qu’à distance, par téléphone ou par mail avec l’ingénieur hydraulicien. Notre référent au village pour le projet étant très pris par ses activités tant agricoles que ses engagements au sein de groupement de producteurs de sésame et de semences, une grande partie des informations sur le démarrage du chantier et sa poursuite s’est faite par mail.

Les membres du CA m’ont fait confiance dans l’appréciation que je leur transmettais de la situation à savoir qu’on avait tout intérêt à ne pas hésiter trop longtemps pour démarrer le chantier afin de saisir l’opportunité qui s’offrait à nous de pouvoir bénéficier d’une offre de prix plus avantageuse que prévue. En effet, nous avons pu intégrés à un programme de forages dans la région et ainsi économiser sur la  venue des machines et des équipes depuis Ouagadougou. Je remercie les membres du CA pour la confiance qu’ils m’ont témoignée alors que nous n’avions matériellement pas le temps de réunir un CA pour décider de débloquer les fonds

            Cette réactivité a été bénéfique  pour pouvoir lancer le projet. Cette capacité à décider vite repose sur la confiance que nous avons dans les personnes avec qui nous sommes en lien depuis des années. Réactivité ne veut pas dire précipitation. Je souhaite que l’on poursuive sur cette voie. C’est un atout pour avancer dans les soutiens, en cohérence avec l’approche que nous avons privilégiée depuis le départ, à savoir: soutenir des projets qui émergent des demandes des familles et des jeunes du village via leurs représentants qui nous les adressent; ce soutien se faisant à hauteur de nos moyens. Les besoins de soutien évoluent dans le temps et pour certains d’entre eux ils ne sont pas forcément prévisibles.

            Aussi nous devons pouvoir nous adapter parfois à de l’imprévu.

            Nous devons donc jouer sur deux tableaux, à savoir pérenniser des soutiens engagés depuis le début et qui ne peuvent être arrêtés, comme le soutien nutritionnel des enfants et des personnes âgées. C’est un soutien qui semble peu habituel et encore peu répandu dans les expériences associatives en matière de malnutrition., Le soutien apporté aux vieilles personnes indigentes, veuves, handicapées ou malades vise aussi à soulager les familles elles mêmes en difficultés financières pour pourvoir à la nutrition de leurs enfants et de leurs actifs.

            Outre cette pérennisation du soutien nutritionnel, nous avons aussi des engagements avec deux associations: de femmes ( HeeraSyn pour «Misola» ) et des jeunes de Passakongo (l’ASEP ou les «jeunes de la bibliothèque»).

Concernant l’association des femmes productrices de farine pour bouillies de supplémentation, d’autres soutiens sont venus prendre le relais des nôtres. Leur atelier a été remarqué pour ses bons résultats au niveau de la fédération nationale des unités Misola (production de10 tonnes en 2015). Leur farine est de bonne qualité et elles sont très réactives et fiables pour honorer des commandes importantes. Elles ont pu intégrer un programme piloté par le GRET (groupement de recherche en technologies): le programme REPAM qui vise à  « renforcer la résilience des populations face à la pauvreté  dans la province du Mouhoun». L’un des volets de ce programme est d'améliorer les connaissances et pratiques nutritionnelles. Le GRET sensibilise aux bonnes pratiques d’alimentation, de soins et d'hygiène, soutient la production locale et la commercialisation à bas coût d'aliments fortifiés et promeut la consommation d'aliments locaux à haute valeur nutritive. Ainsi, leur atelier a pu être équipé de nouveaux matériels. Elles reçoivent également commande de Terre des Hommes pour approvisionner des villages en farine. Cette ONG les avait déjà également équipées de matériel plus performant pour honorer leur production.

Elles peuvent aussi compter sur le moulin que notre association a financé il y a deux ans. A ce jour elles emploient un jeune meunier. Leur moulin a bonne réputation. Le GRET a pu les soutenir financièrement dans le branchement électrique de ce moulin. Elles sont donc inscrites et connues au sein d'un réseau tant associatif qu'institutionnel qui leur procure différents types de soutien. De ce fait elles deviennent de moins en moins dépendantes de Visa Verveine Pour Passakongo. C'était notre objectif. Nous continuons bien sûr de soutenir leur production en leur passant commandes de farine.
Les mamans leur achètent la farine au 1/3 du prix ; l'association subventionne les 2/3 restants qu'elles remboursent chaque fin de trimestre aux femmes de HeeraSyn sur production. De même nous continuerons à les aider pour l'entretien de leur bâtiment tant qu'elles ne peuvent pas couvrir tous leurs frais.
Quand aux "jeunes de la bibliothèque", leur association a pu bénéficier d'un soutien de notre part pour l'organisation de leur fête annuelle qui visait à faire connaitre aux parents de Passakongo leurs projets de développement de la lecture et du soutien scolaire aux plus petits. Ils peinent à réellement structurer leur association dans la mesure où les éléments piliers sont parfois partis du village pour étudier à l'université. De même il leur est difficile d'organiser l'animation de leur bibliothèque. Nous avions pris contact avec un professeur de collège demeurant au village et intéressé par la diffusion de la lecture et de la culture en milieu rural ; ce dernier se proposait de les accompagner en termes de formation. Un projet pour 2016 ? Nous restons aussi attentifs à leurs besoins en livres. Ils comptent également sur nous pour un appui à la construction d'un petit hangar pour permettre la lecture et des animations dehors, à l'abri du soleil.

Pour l’année en cours et les suivantes nous devrons relever plusieurs défis :

-          parvenir à entretenir une proximité relationnelle avec les hommes et les femmes de Passakongo alors que dans le même temps nous ne sommes plus si nombreux que ça à pouvoir envisager des séjours réguliers tant par crainte de l’insécurité qu’indisponibilité liée à d ‘autres engagements. Or sans séjours réguliers, il pourrait devenir difficile de partager des projets avec nos amis du village. L’absence d’un correspondant véritablement impliqué et reconnu par la population comme pouvait l’être notre ami décédé, correspondant des premières heures, lequel faisait remonter des demandes du village , fait que nous avons du ventiler différemment nos liens. Pour exemple : nous avons recentré les fonctions de Charles, fils de notre ancien correspondant sur la responsabilité de l’accueil des étrangers de passage et l’entretien des petites  maisonnettes. Il continue aussi à être la personne de confiance par laquelle transitentles fonds que nous envoyons avant dépôt sur notre compte à la «caisse villageoise». Cela lui évite de gérer des situations complexes où son jeune âge relatif ne lui confère pas toujours d’avoir la légitimité au niveau local pour exercer des négociations pour notre association. Nous avons fait le choix d’une gestion en direct avec les représentants des associations que nous soutenons.

-          Charles est toujours responsable du petit véhicule que nous avions co-financé il y a 8 ans à plusieurs, avec son père, l’association et des membres amis à titre personnel. A ce jour le véhicule vieillit et nous fait engager des dépenses récurrentes. Nous avons décidé depuis peu de ne plus nous engager dans les dépenses liées aux réparations. Le besoin en véhicule s’est fait moins criant qu’il y a quelques années: avec l’apparition de motos-taxi pour les évacuations sur l’hôpital et de véhicules de location pour les étrangers de passage, le véhicule devient moins incontournable. Nous n’avons pas encore pensé son devenir.

-          Concernant le projet du forage, la personne relais a été Elisée avec qui nous sommes en confiance depuis le décès de notre correspondant. Il a fait le lien avec les responsables du groupement et a suivi le déroulé de l’opération.

            Conserver les liens de proximité tout en les réaménageant différemment constitue un réel défi pour pérenniser notre soutien. Ce sera d’autant plus complexe à réaliser que nos séjours risquent d’être moins nombreux, plus espacés et moins longs. De plus les volontaires aux séjours sont plus rares. Plus d’étudiants infirmiers français comme il y a quelques années, moins de disponibilité de notre côté et peu d’envie pour ceux qui n’y sont jamais allés d’oser l’expérience de séjour au village. On peut les comprendre dans le climat d’insécurité actuel et les déstabilisations de la zone.

            Un autre défi à relever est de maintenir la dynamique de l’association. Je me pose la question à ce jour. Nous sommes une équipe « vieillissante », généreuse certes mais avec un autre handicap qui est d’être éclatée sur le plan géographique. Ce qui ne favorise pas toujours une collaboration rapprochée entre locaux et membres actifs de l’association. De plus le profil même de notre association fait que la force de l’engagement est en partie liée à la connaissance que nous pouvons avoir des réalités de vie présentes au village et à la capacité à en témoigner pour sensibiliser. Sans séjour, pas d’expérience de contact. Pas de liens personnels directement instaurés. La motivation des troupes repose donc sur celles et ceux qui vont et reviennent. Ils sont l’unique lien ; ils sont peu nombreux et de plus deviennent moins disponibles. Le risque d’essoufflement est une préoccupation nouvelle. Mais peut être que cette inquiétude qui est mienne reste à nuancer?

            En tout cas, pour nous redonner confiance, nous avons été encouragés à poursuivre nos soutiens grâce à la générosité des uns et des autres et à votre participation aux manifestations que nous avons organisées.  Nous savons que nous pouvons compter sur des donateurs réguliers et le concours d’amis comédiens pour penser d’autres représentations de théâtre à Apinac. Le réseau relationnel est précieux. Merci à toutes celles et ceux qui font perdurer ces liens.

            Nous avons pu également obtenir une subvention exceptionnelle de 1000€  auprès du ministère des affaires étrangères et du développement international grâce au concours  de Dino Ciniéri député. Cette subvention spontanément proposée par lui lors d’une conversation à bâtons rompus concernant les projets de l’association, est la bienvenue pour renforcer les capacités financières de l’association, amoindries suite à l’opération du forage. Cette subvention devrait nous permettre d’assurer la pérennité du soutien nutritionnel et la mise en place d’autres actions telle la formation d’un paysan à l’entretien de la pompe et la création d’un hangar type paillotte pour les jeunes de la bibliothèque. Peut être pourrons nous envisager selon nos fonds disponibles l’évolution du périmètre du forage en périmètre de maraîchage ? Mais cela demande de construire le projet avec les paysans.

            Voilà donc tracé à grands traits le rapport moral de cette AG, placée entre des encouragements à poursuivre mais aussi sous le signe de l’inquiétude liée à l’insécurité due aux menaces d’attentats et à la déstabilisation de toute la zone. Il va probablement falloir trouver un autre type de fonctionnement pour poursuivre notre collaboration avec le village pour soutenir des actions de développement local.

Vote du rapport moral

Le rapport moral est approuvé à l’unanimité des présents et des représentés

3 Rapport financier  présenté par Huguette Bazin trésorière adjointe

            Réalisé 2015

            Nous avions terminons l’exercice budgétaire 2014 avec un excédent de  près de 4000€ grâce à une année exceptionnelle au niveau des dons et des manifestations qui ont permis des bénéfices conséquents.

            Le réalisé 2015 fait apparaître un déficit car nous avons financé la totalité du projet forage et pompe en utilisant l’excédent de 2014 pour financer ce projet exceptionnel nous avons utilisé 65% de notre budget tout en conservant le financement des autres projets (soutien nutritionnel aux enfants et personnes âgées, soutien aux jeunes de l’ADSEP) 

 

    

Budget Prévisionnel 2016
CHARGES		2016	RECETTES	2016
Charges de fonctionnement		200,00	Ventes objets	200,00
Projets		5 200,00	Adhésions et Dons
Frais divers et charges externes		1 000,00	Adhésions	600,00
			Dons	1 600,00
			Manifestations	3 000,00
			Subvention exceptionnelle Ministère des Affaires Etrangères	1 000,00
Total des charges		6 400,00	Total des recettes	6 400,00

Vote du rapport financier

Le rapport financier est approuvé à l’unanimité des présents et des représentés

4        Rapport d’activités

Présenté par M TH Gachet et J Ruas

            Il s’agit des manifestations  et activités  que nous avons organisées en France  pour faire des bénéfices et envoyer l’argent  pour les projets reconduits comme le soutien nutritionnel aux personnes âgées et aux enfants mais aussi pour  financer les projets nouveaux cette année le forage et l'installation de la pompe  mais il s’agit aussi  d’offrir à nos adhérents et sympathisants des moments de convivialité et des temps d’échanges sur la vie quotidienne au village de Passakongo

             Le 22  juillet 2015 Marie Françoise Meley présidente de Visa Verveine mais aussi anthropologue de la santé présente un diaporama sur la cuisine en pays bwa

«Cuisines de femmes en pays bwa»

            Réunit au quai des arts à Usson en Forez  en fin d’après midi  cela permit de faire se rencontrer une  vingtaine de personnes et  d’assurer une recette de 135€

La fête patronale d’Apinac 

                L’association VVPP a pris en charge la tenue du bar le samedi soir et l’encadrement de la retraite aux flambeaux.

                Cela a permis de dégager une recette de 550€

                Nous sommes volontaires pour reconduire cette participation

 Le repas champêtre  LE 24 OCTOBRE 2015

            Troisième édition de ce qui va bientôt devenir un incontournable à Apinac

            Notre repas champêtre avec un menu qui se perfectionne au fil des années

                       Soupe de courge (merci à ceux qui nous ont gracieusement offerts les courges)      
                       Lentilles  et jambon au foin (merci aux cuisiniers et cuisinières)

                       Fromage

                                   Glaces et gâteaux maison

            L’ensemble des produits provient du terroir  nous essayons de produire un repas de qualité  dans un espace agréable cette année la décoration de table fut assuré par un jeune ardéchois plein d’avenir nous le remercions vivement.

L’animation musicale  assurée par Valérie Gonzalès et son accordéon fut une réussite

La salle pour 2016 est déjà réservée alors à vos agendas pour retenir le 22 octobre 2016

Merci à tous ceux qui ont participé en donnant de leur temps de leur savoir faire ou tout simplement en venant déguster le jambon au foin

Bénéfice de la soirée 1000€

Vente de calendrier

Nous avons tenté la vente de calendrier (100) mais  ce ne fut pas une grande réussite

En cause sûrement  le peu de compétences des membres du CA en  vente directe

A ce jour nous avons un déficit de 147,60€

Le déficit devrait être un peu réduit car il apparaîtra en 2016 quelques recettes liées à la vente  de calendrier en janvier 2016

Les projets pour 2016

 Théâtre   de la grille verte  le 10 juin 2016 à la salle  du centre permanent à 20h30

Pièce de Matei VISNIEC auteur roumain période de Ceaucescu

Réflexion satire sur la manipulation politique comédie noire mais endiablée qui dénonce les parodies de justice

      Repas le 22 octobre 2016 à la salle communale à 19h

Fête patronale  le 3 et 4 septembre 2016

Théâtre en novembre en attente

5        Présentation du blog par Huguette Bazin

            Le blog est disponible sur internet en tapant visa verveine pour passakongo blog 

Le blog présente l’histoire de l’association, les projets réalisés depuis 2007, les événements prévus en 2016.

            Nous comptons sur vous pour le visiter et le faire visiter

6        Election conseil d’administration

            Les membres du CA sont élus pour deux ans 

            Elus en 2014 sont donc à renouveler :

            Marie Meley  se représente

            Janine Ruas se représente

            Aimé Ruas  se représente

            Emilie Sanou se représente

            Daouda Sanou se représente

            Marie Thérése Gachet se représente

            Agnès Calmard se représente

            Nadine Guilhot  qui ne souhaite pas se représenter

            André Cognat propose sa candidature

Cette proposition est adoptée à l’unanimité des présents et des représentés

La composition du CA est donc :

            Marie Meley  réelue  en  2016

            Janine Ruas réelue  en  2016

            Aimé Ruas  réelu  en  2016

            Emilie Sanou réelue  en  2016

            Daouda Sanou réelu  en  2016

            Marie thérése Gachet réelue  en  2016

            Agnès Calmard réelue  en  2016

            André Cognat élu  en  2016

            Armard Calmard élu  en 2015

            Huguette Bazin élue en 2015

            Le prochain CA aura lieu le mardi 5 avril 2016.

            On procédera à l’élection  du président, trésorier et trésorier adjoint, secrétaire et secrétaire adjointe.

L’assemblée générale se poursuit autour d’un verre de l’amitié